C’était… La mort… Oui ! La mort…
C’était un bébé dont la mère scrutait avec tendresse sa peau douce
C’était un je-ne-sais-quoi qui n’avait rien à faire là
C’était une souffrance, un bonheur et une lueur d’instinct bestial
C’était la nature et un zeste de vie
C’était le froid, la faim, l’ennui, la présence de caractère que chacun a en soit
C’était un homme… Et une femme
Cette femme c’était la mère et cet homme le père
Cette souffrance c’était les durs moments que ce couple avait passé
Ce bonheur était la naissance du bébé
Ce bébé était la vie
Cette vie représentait la nature
Cette nature représentait cet instinct bestial
Le froid, l’ennui et tout le reste est ce que chaque homme à en soit
Et cette mort… Qui elle m’a toujours intrigué…
Ce n’est pas un poème de Molière
Ce n’est pas un poème d’ailleurs
Ce n’est ni une manière de penser
C’est un texte qu’on lit et qu’on trouve beau sans savoir pourquoi…
En fait non, je ne sais même pas s’il est beau
Jouer au philosophe n’est pas chose facile
Mon texte veut peut-être pour certaine personne dire quelque chose mais ce n'est pas le plus important... L'important... hé bien... Voilà encore quelque chose qui m'intrigue...