Je voudrais votre avis sur cette histoire!

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kirin'thorien
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Joined: Wed Jul 16, 2003 2:00 am

Post by kirin'thorien »

Bon bé voila, c'est vacances je me suis mis a écrire et g pondu.... CA!
Bon... il y a même pas deux chapitre entiers et ca fait au moins deux semaines et demie que j'ai plus écrit mé bon avant de continuer, j'aimerais un voire DES avis. Merci d'avance et si c nul a chier dites le :D . Et vous inquietez pa les fautes je v les corriger, y'en a besoin, ca en est bourré ! :wink: Elles sont la seulement parce que j'imagine mon histoire au fur et a mesure, donc je suis plus préocupé par le futur que le présent ou j'écris. Au fait sur word ca fait cinq pages alors...bon courage! :D

Chapitre un: la tranquilité
Dans les hautes terres du meridory vit un jeune demi-gnome d'age trop mur pour un enfant et pas assez pour le considerer comme un adulte : en pleine ascalum nommé furt et s'étant établi dans un groupe de gnome de pure souche (après maintes et maintes années, furt, arriva à gagner la confience des autres gnomes suite à l'exploit qu'il avait accompli en sauvant du feu , allumé par un troll, les trois quart du stock de bois pour l'hiver - il faut savoir que les gnomes de pure souche sont très difficile quant au fait d'intégrer des gnomes de la gente citadine ou des gnomes issus d'un metissage entre deux races, le plus souvent avec les humains et qu'il faut vraiment prouvé son haut fait pour pouvoir se faire acce^ter en tant qu'égal dans leur système-) .
Notes sur les coutumes gnomes:les gnomes differencient quetres étapes bien distinctes tout au long de leur vie : on trouve la frencima, qui correspond à la jeune enfance, entre 0 et 7 ans; puis la calimuni, qui regroupe les gnomes de 7 à 15 ans; vient alors l'ascalum, correspondant à la periode entre 15 et 28 ans; et enfin, la senumia qui va de 30 à 140 ans, les gnomes ayant une durée de vie moyenne de 120 ans. Le temps passe sur les gnomes sans en affecter la jeunesse, ce n'est qu'après l'avoir usé et usé que le temps arrive à chasser cette longue jeunesse, et installe en quelques mois la vieillesse que connaissent les hommes (le temps une fois qu'il s'est acrroché aux gnomes il défille de plus en plus vite, file et cours pours rattraper enfin les moment qu'il aurait du vieillir auparavant.). Bien que lorsque les gnomes plongent dans le fleuve de la vieillesse, et que les marques de ce temps fuiyeur apparaissent, certains resistent et revettent une fois de plus une protection temporelle et peuvent atteindre un age étonnant. Les gnomes les nomment les henteïs, dont l'équivalent dans les autres races sont les sages. Ceux ci ont acquis une grande experiences et consacrent leur vie à la protection de leur tendre contrée soit en usant de magie soit en usant de la sainte parole... le plus grand de ces henteïs est sûrement Fabricond un grand et sage gnome initié par les hautes arcanes aux magies les plus puissantes, ce dernier, grâce à l'enseignement des hautes instances qu'il a suivi le plus fidelement possible, est arrivé jusqu'à 336 ans... les coutumes gnommes seront expliquées en détail tout au long de cette histoire ( car sinon on a pas fini... =;-) lol .
C'est a la mi-automne que débute le récit de la légendaire aventure de Furt, ce petit demi gnomme au fort caractère, comme un véritable gnomme a, joyeux et toujours prêt à s'amuser, et bien évidement, comme tout gnomme ou demi gnomme qui se respecte, solidaire, fidèle et amical à la fois. Furt est un de ces gnommes qui partent facilement à l' aventure, prêt à se faire emporter par le tourbillion de la vie, et par le hasrd de leur destin. Comme chaque gnomme, Furt est vif et intelligent, malicieux et rapide. Il ne se fie pas au destin mais croit comme beaucoup dans le Merridory à une force superieure qui supervise la vie des hautes terres. Le ciel couleur cuivre s'est couvert depuis maintenant un mois de milles pluies de feuilles qui virevoltent et filent, libres, au grès du vent capricieux et tapissent le sol d'une magnifique couche de couleur bois et or, alant jusqu'à donner vie à maintes tourbillons et colonnes montantes avancant tel une créature sublime, marchant le tete haute, fier et droit se dressant pareil à un élémental. Les hautes terres du Meridory sont aujourd'hui cachées sous ce tapis de feuilles et le froid commence à grapiller ses premiers instants de gloire, a entrer dans les trous des gnomes qui tentent tant bien que mal de préserver une certaine chaleur dans leur trou enfouis afin de pouvoir garder leur bois coupé et séché pour les jours de grands froids.
Ici, nous allons aborder deux points de la culture gnome: d'une part leur habitat et d'autre part leur préparation face au froid cruel des hautes tere du Meridory. Les gnommes étants assez méfiants, suspecteurs, pudiques et timides, ceux ci vivent dans les flancs des collines que toute la communeauté creuse et aménage ensemble, les gnomes étant très solidaires des autres gnomes. leur trou comme l'apellent les gnome se composent de trois grandes parties : une petite grotte creusée en forme de demi sphere qui constitue le lieu d'habitat pour l'été. des fenetres, y sont creusées pour permettre aux doux rayons de soleil de caresser l'ensemble de cette piéce souvent en mouvement, appellée estivalié; une seconde grotte plus grande celle ci qui permet une bonne isolation thermique, les gnomes y vivent l'automne, le début de l'hiver et une partie du printemps, c'est le frescantum; et enfin, l'isolaré une pièce est creusée plus en profondeur et laissée libre pour les grandes périodes ou le froid glacial ne démord pas de ses crocs et emprisonne tout sur son passage, de facon à ce que même le plus débutant des pisteurs pourrait en suivre la trace. Dans ces moments la, encore une fois tout le groupe se mobilise pour aider son prochain et recoit a son tour une aide afin d'amener les affaires utiles à la vie quotidienne depuis les deux premières grotte jusqu'à la troisième qui est parfaitementisolée du froid exterieurqui ne cherche qu'une proie à transformer en victime. C'est dans cette troisième pièce que sont entreposés stocks de bois, de vivres, ... de tout l'utile à la survie. Ces stocks peuvent chacun suffirent à trois personne de tenir cinq mois tapis sous le froid. Voilà à peu près ce que mes sources et ma mémoires peuvent vous apporter, mes connaissances des gnomes étant limitées sur certains points.
Maintenant, abordons le point de la préparation à ces hivers ravageurs : Bien qu'insouciants sur certains détails, les gnomes , au fil des hivers et des morts, ont appris à se préparer et à combattre cet enemi ô combien dangereux et ancien. Les gnomes le comparent à une ombre revenant chaque année et repoussée à chaque fois par la lumière des bourgeons du printemps. C'est donc par souci de se préserver que les gnomes , chaque été, bien qu'étant un peuple fénéant, coupent une quantité incroyable et quasi éfrayante de bois : environ dix groucs par famille ( un grouc de gnomme en vaut la moitié d'un de nain , un floc et demi, unité de mesure des elfes des grands bois, le quart d'une grute, unité orque et environ huit kilo ( 7,998 pour etre exact) pour parler en humain. Les gnommes, connaissant la distillation demandent chaque été à leur femmes de couper le bois natté que l'on trouve dans les foret de grands pins, à l'ombre des arbres centenaires et vénérés. Chaque année, environ trente kintes d'alcool, les proportions de mesures entres les unités gnomes et celles des autres races sont préservées : une kinte correspond à la moitié d'une kinte de nain, une ratia et demi d'elfes... sauf pour la conversion en litres, une kinte correspond à dix litres. Les gnomes cherchent une alimentation équilibrées et cherchent donc aussi de l'eau, ils en prennent la même quantité que d'alcool. Leur alimentation est un de leurs secrets pour arriver jusqu'à l'age qu'ils peuvent atteindre. Leur stock de nourriture est faite de la sorte :Les gnomes n'ayant jamais été initiés aux secrets de l'art de la chasse, mais très habiles de leur doigts, fabriquent tout au long de l'année une multitudes de types de pièges differentes et les posent une fois la douceur du printemps venue. Grace à des années d'études qui ont abouties à maintes améliorations, les gnomes ont réussis des prodige en matière d'attraper le gibier. De cette manière, les gnomes peuvent attraper à peu près onze quintes et quart, équivalant à quatre vingt dix kilos environ, de viande. Etant habiles de leurs mains, c'est instinctivement que les gnomes se sont dirigés vers la pêche et rapportent plus ou moins la même quantité de poisson que de gibier. Il faut savoir que dans les hautes terre du Meridory, la végétation y est explosive, les arbres poussent cinq à six fois plus vite qu'un arbre normal, les animaux se reproduisent trois fois par ans ainsi que les poissons, c'est pourquoi, les gnommes parvienent chaque année à ramasser cette incroyable quantité de vivre, sans abimer leur contrée.Et enfin les matronnes gnommes ont la main verte et contribuent elles aussi au stockage : à elles seules elles récoltent deux fois plus vite leurs onze quintes que tous les gnomes réunis, pourtant, elles ne représentent que les trois quart de la population gnome... Les gnomes entreposent tous leurs vivres dans des meubles hermétiques placés dans une voute creusée dans un mur de l'isolaré. Leurs provisions occupent environ seize pieds de gnomes sur vingt quatre, un pied de gnomme équivalant à un quart de metre. voilà pour ces deux points spécifiques à la culture gnomme.
Les gnommes de la région passaient ce début d'automne avec les humains avec qui le commerce ss'entretenait, et qui habitaient plus bas, dans les milieux du Merridory. Les gros commerces étaient organisés dans le sud ouest des terres du milieu, à Tarante,la plus proche grande cité humaine. Les gnommes devenaient de plus en plus passionnés par le savoir mécanique et physique des trois technologues venus de la lointaine Larint : de l'autre côté de l'océan d'Ephistaös, il n'est aucun village d'homme qui ne connaisse bon nombre de secrets technologiques et qui s'en servent pour faciliter leur vie et la rendre plus agréable.Ces avancées scientifiques regroupent la médecine, l'invention de la lampe à filament, alimentée par un mini moteur placé sous le socle de la lampe et qui, grâce au champ électro-magnetique produit par le rotor entraine la production d'électricité; sans parler des grosses machines à vapeur, dont l'honeur de l'invention revient à monsieur Delriche, des armes à feu très utiles à la chasse, et bien d'autres encores... Les gnommes trop timides ne faisaient qu'écouter les récits et les explication des machinations des technologues, sans jamais les reproduire pour leur propre usage. les courants entre humains et gnomme étaient extremement chaleureux et souvent des festins ou se mélangaient les deux races étaient organisés. On y buvait l'eau de natte des gnommes et on mangait le gibier abondament chassé par les hommes, ces fêtes duraient des nuits et des jours sans discontinuer souvent sur deux jours. Les gnommes vendaient leur surplus de provisions aux hommes et avec l'argent de ceux -ci, ils s'offraient des symoles de paix durable et longtemps préservable. Les gnommes se trouvaient aussi proche avec les hommes des terres du milieu, que des nain établis plus au nord dans les sous la majestueuse chaine formée par les quatres montagnes nommées de l'est à l'ouest : Colomina, qui signifie colosse droit, cette montagne culmine à plus de 4500 metres; Tradistina, la majestueuse, qui signifie la tordue, nommée ainsi car un jour le flanc est s'est éffondré et que depuis, "la montagne se prosterne devant le maitre soleil"; Meneskatina, la menacante nommée de la sorte suite à son allure peu aimable vue depuis le sol : c'est une montagne rude, vertigineuse et dont la pente se trouve etre extremement drue, son sommet se trouve à 5452 metrs d'altitude; et enfin la Minialina, la plus petite, formées de grands plateaux superposés, le plus haut se trouvant à 2896 metres. Dans chacune de ses quatres reines de la nature vie une grande et imposante famille naine. Aucun gnomme ne connait le nom d'aucune d'entre elles, les nains ne les donnent qu'aux gens qu'ils pensent très proches et loyal, et si un gnomme le sait,il se tait par respect de la culture naine. Une fois, et ce fut la seule, lors d'un festin préparé et rassemblant nains, gnommes et hommes, un homme innoscent eu le malheur de demander son nom à un nain, celui-ci se vexa et imédiatement un froid se fit sentir entre tous. Ce n'est qu'après plusieurs semaines que l' ignorant arriva à retablir sa faute et à reconscillier les peuples au cours d'une grande assemblée improvisée un soir d'été sur un immense colline. Cet instant avait quelque chose de magique, le soleil doré innondait d'orange et de rouges les nuages, de bonheur et de paix les créatures présantes, et tout le monde acclama les réconscilliation. Les deux faautifs avaient même été jusqu'à quitter leurs armes pour se serer la main, selon ceux qui y éatainet, l'instant était à graver absolument dans un coin de sa memoire. Cette remontée d'émotion donna suite à une autre fête, organisée cette fois par les hommes. Les gnommes, que moyen combattants demandèrent à acquerir le savoir que les seigneurs nains et les fiers hommes leur pourrait donner. grâce à leurs bonnes relations, une poignée de gnomes se vurent accorder ce privilege et constituèrent la première garde gnomme de la région. Composée de 20% de la population gnomme, elle fut utiles bien des fois lors des escortes de convois. Celle-ci s'était débatue plusieurs fois avec un groupe de pillards gobelins qui, après une dizaine d'attaque repoussée et trois perte décida de quitter la région et de s'attaquer à d'autres marchandises que celle des gnomes.


Depuis l'arrivée de cet automne morne, les rêves de Furt se faisent plus présents, et un d'eux sans cesse revenait, perturbait son sommeil et le tourmentait j'usque dans la réalité : Il se voyait, simple demi gnomme de trois virule six pieds, aux cheuveux frisés qui lui cachent son petit visage rond de petit gnome, aux yeux percants et vifs de couleur brune que cachaient en partie de longs sourcils en bataille qui s'assortissait bien avec ses cheveux. Son gros nez de gnomme rougissait lors du froid ou d'une grosse émotion et surout lors de fêtes d'hiver ou l'eau de natte ( alcool gnomme ) coulait dans les verres comme les fleuves se jettent dans la mer. Il se voyait habillé d'une simple saloppette verte raccourcie aux genou et par dessous, une chemise blanche jaunie par le temps et les périples que peuvent comporter voyages. Il se voyait à genou dans une contrée qui lui était alors inconnue, une région seche et sombre a la fois, le soleil ne pouvait pas percer l'épaisse brume et les groupes de nuages géant qui planaient sur l'atmosphère morbide de cet endroit dont Furt ne connaissait pas la source.. Il se voyait, là déésespéré, épuisé voire usé par les péripéties, au beau milieu de ces terres désertiques, un immense précipice se dressait devant lui tel un mur de la hauteur de son gouffre, gouffre dont il ne voyait pas la fin.
Il préssentait, un homme et un elfe à ses côtés, eux aussi à genou, semblant assomés par une force superieure.. Furt sentait derrière lui l'homme, vétu d'une cape brune sous laquelle se trouvait un homme fort, à la carrure exeptionelle desrois hommes, dont il avait d'ailleur le fiere et majestueuse allure : Il était grand, avec des muscles bien apparents malgrès son long manteau lache, une grande virilité, une immense gentillesse et une fabuleuse intelligence se dégagait de lui. Sous cette longue cape usée , trouée et rapiécée on pouvait voir une cotte de maille semblant etre forgée par un maitre nain -solide mais apparement légère à la fois et qui descendait jusqu'à ses fortes hanches- sous des épaulières de lourd cuir, à sa large ceinture pendait une longue et magnifique épée dans un fourreau digne des plus grand, une pièce fabuleuse bien que vieillie elle aussi, argentée, ornée de milles saphir, de plusieurs runes naines et d'une magnifique pointe dorrée à son bout. L'argent s'était noirci suite à moultes périples, les saphirs arrondis mais ce fourreau gardait une presence incroyable aux yeux de Furt, intriguée par l'inscription " prositdurne " gravée dessus. Des braies élfiques d'un gris-vert étonnant protégeaint ses jambes souffrantes de maintes blessures apparentes et des bottes, elles aussi elfiques étaient à ses pieds. son visage semblait creux et amaigris par un long voyage, ses yeux noirs fatigués, ses cheuveux noirs plaqués sous sa cape, sa bouche était grande ouverte et ses yeux ébahis, une sombre lueur se laissait percevoir les profonds secrets contenue dans les plus profndes antres de son âme. L'ame de cet inconnu se ressentait facilement : elle était vaillante, mysterieuse et profonde, sage et forte en même temps. Des qualités rares ches les technologue qu'on trouve chez les hommes des terres du mileu du Merridory. Cet homme devait venir de loin... Furt se laissait alors subjuguer par sa fatigue. Il observait cet elfe, Lui était mince grand, d'une légéreté apparente hors du commun. Il portait un habit vert sur son torse, une longue toge portée au niveau de la taille cachait ses jambes musclée et ses pieds fins. Un carquois tout de fleches rempli était mis en "bandoulière" autour de son torse dévellopé. Il tenait un magnifique arc long aux décorations précise et magnifiques; Les bouts de cet arc étaient enroulés autour d'eux même et des pointes aiguisées se trouvaient sur le devant de l'arc. Dessus on apercevait un nom écrit en lanue elfique ... Il avait de longs cheuveux bruns, pareil au soleil lors de son levé dans le merveilleuse Llanowar. Ses longues orreilles pointues dépassaient de ses cheuveux tiré en arrière et attachés avec un morceau d'éclésiasti, et ses yeux percant scrutaient l'horizon à la recherche de quelque forme. Pourtant haletant, sa bouche aux fines levres arborait une expression de désespoir.
Ils étaient là lorsque les yeux de l'elfes s'assombrirent et son goigt se dressait, pointait vers le ciel au dessus du précipice. Furt soudainement appeuré fixa longtemps le doigt, puis arriva à lever les yeux et observa, immobile.
Une forme noire s'approchait, semblait flotter sur dans airs comme portée par un désir puissant, dissipant la brume envoutante autour de lui. En un éclair, cette forme devint claire aux yeux de Furt et la terreur s'installa dans son regard.
Furt se réveillait alors à chaque fois que ce moment de rêve se déroulait devant ses yeux . Il se levait transpirant, le coeur battant à lui crever la poitrine, les yeux rouges et le teint pale. Il ne parlait à personne de cet étrange rêve terrifiant qui l'obsedait. Furt restait parfois une après midi entière cloitré dans son trou à penser à ce rêve et à le tourner dans tous les sens. Lors de ses marches quotidienne, il ne pensait qu'à ca. Au commencement, l'obssession u rêve s'arretait là mais depuis peu, ca empirait: Il lui arrivait parfois de se déconnecter des autres gnommes au beau milieu d'une conversation, et d'y réfléchir, de réfléchir à la signification de ce rêve, à l'importance des deux inconnus et surtout à la source et l'intention de la forme qui arrivait. Ses amis ne lui rendait visite que moitié moins qu'avant et plus ce rêve se reproduisait, plus il y pensait. Ses longues balades à travers les bois se prolongeaient. Il s'y sentait mieux pour réfléchir, "le bruit des ruisseau et des oiseaux me calment. disait-il. J' ai l'impression qu'il y en a même un qui me suit et à le désir de m'aider". Ils'y plaisait tellement qu'il y dormait parfois. Il se plaisait aussi à observer le comportement de certains oiseaux qu'il parvenait à distinguer de la masse formée par tous. Il distinguait un corbeau, une pie et un aigle des mers, surement perdu. Ces trois oiseaux avait réussi à lui faire moins penser à son rêve qui ne s'arretait pas pour autant de revenir. L'aigle avait fini par s'habituer à la chasse au mulots et autre petits mamifères présents dans les hautes herbes. Il montait haut dans le ciel, se servait de sa vue persante pour reperer une proie possible, la suivait, attandait qu'elle soit dans une clairière ou quelque lieu découvert, et volait en piqué sur sa proie. Ce n'est qu'à une dizaine de centimetre que celui ci se redressait et serrait sa victime entre ses puissantes serres. Il jouait un moment durant avec et la dévore avec une vivacité étonnante. Furt avait remarqué que sa technique n'était pas tout à fait au point car en effet, plusieurs fois l'animal n'avait pas réussi à se redresser et avait fait l'objet d'une chute spectaculaire. D'autres fois, la proie s'échapait des serres de l'animal, d'autant plus qu'au début le volatile ne différenciait pas bien les animaux des quelques pierres ou autre ammas de terre poussée par le vent.C'est aussi grâce à lui que Furt apris l'existence de serpents dans le bois, en vérité, il doit etre le seul à le savoir : ceux ci se font discrets face à cette créature imposante . De cette facon Furt pu les observer aussiet ainsi dissiper sa peur, ou tout du moins de l'enfouir au plus profond de son être . La pie ne se montrait que rarement en temps normal et depuis trois jours, Furt ne l'avait plus apercue. Quant au corbeau, c'était le plus facile à observer, Furt prenait souvent des notes à son sujet: Il le pouvait voir chasser, très observateur, ce dernier s'était approprié la technique de l'aigle, il paraissait très observateur, comprehensif, voire même rusé et intelligent. Il volait souvent aux cotes de Furt, d'un vol calme rythmé et reposant. Plusieurs fois par semaine il prenait un minucieu soins à nettoyeer son plumage d'un noir qui inspire un certain respect, mais qui pourtant reflétait la lueur du soleil tel un mirroir protecteur. Les notes de Furt se faisaient chaque jour plus nombreuses. Le comportement de l'animal était en changement. Sa peur de Furt semblait s'être diminuée bien qu'il gardait toujours une distance de sureté entre lui et le demi-gnome. Il avait aussi remarqué que ces temps ci, l'oiseau apprenait a se servir de ses ailes tel des mains, pour ensuite parvenir a une certaine métrise dans cette competence. Le corbeau se nourissait bizarement de fruits de Grimaldou, fruit de teinte rouge-gris, très sucré -et par cela grandement apprécié par les gnommes qui en connaissent aussi les vertues médicinales- et entouré d'une lourde coquille que même les gnommes les plus forts n'ont jamais réussis a brisé a main nues. Le corbeau avait trouvé la soulution, il le serrait fort entre les extremités de ses plumes soieuses, s'envolait grace a un courant d'air chaud, puis déscendait en piqué sur une roche apparente. Ce n'est qu'a environ un metre du sol que le corbeau lancait son fruit avec l'agilité humaine sur la pierre. Et si la coquille du Grimaldou n'était pas totalement brisée, il prenait soi de l'écarter avec ses ailles. de même, il lui arrivait parfois de porter avec ses ailes les graines du fruit jusqu'à sa bouche. Il allait jusqu'à s'en servir de défense. Vulnérable face au serpent ou quelque prédateur celeste, il prenait des pierres et les lancait sur ses agressuers. Furt se fascinait totalement pour cet animal si intelligent. Cette intelligence alla jusqu'a l'effrayer un jour, peut etre n'était-il pas un simple oiseau. Mais malgrès cette crainte les temps fila ainsi que les jours et Furt se sentait de plus en plus proche de l'animal, chaque jour la distance de sécurité que l'oiseau se gardait de respecter diminuait. Plus d'une fois Furt s'était félicité pour l'avoir approché à moin de quatre pieds de lui, bien sur l'oiseau, effrayé par un tel avancement de la part de Furt s'enfuit maites et maintes fois. Un jour ou Furt s'occupait de son rêve, fixant l'aigle tournoyant, prêt à se jetter sur une proie dont il avait libre choix Cresix , car tel était le nom qu'avait choisi Furt à ce qu'il désignait comme son corbeau, se posa une fois de plus délicatement et sans bruit audible de la part d'un gnomme, preès de Furt. Furt fit mine de ne pas l'avoir vu. Il voulut l'ignorer quan Cresix se décida à se raprocher d'un pas, puis d'un autre, suivis de deux. Pour finir il arriva a un demi pied du demi-gnomme et osa enfin monter sur sa jambe. Furt se sentit d'abord empli par tant d'émotions, satisfaction, soulagement... le saisirent à la gorge. C'était la récompense de sa ô combien grande pacience. Puis, il sentit une aura incertaine autour de lui, quelque chose l'envelopper, doux comme l'herbe et ardant tel un volcan. Furt ne compris pas cette impressions soudaine mais se laissa de nouveau submerger par la récompense méritée, après tant de temps passé en présence de Cresix, celui ci l'abordait enfin.
Après seulement deux bonne semaine, Furt avait réussi à apprivoiser, partiellement, Cresix et les deux se balladaient souvent cote à cote entre le forêt et le village gnomme. Cresix ne s'y aventurait pas bien longtemps, les enfants, le prenant pour un envoyer des ténèbre, suites a la couleur pourtant naturelle de son plumage, lui jettaient souvent des petites pierres, des galets, le poursuivaient sans cesse... Mais pour Furt ces retours réguliers au villages étaient nécessaires, ne serai-ce que pour reprendre des vivres. Mais il voyait bien le désagrément de la ville pour son corbeau, il s'était plusieurs fois décidé de tenté la chasse, lui qui était un coupeur de bois se sentait attiré par se coté de la nature.

Chapitre deux: ....
C'était alors la fin du mois d'octobre, les arbres se dénudaient peu à peu et commencaient à faire apparaitre la nudité de leurs troncs gigantesques. Les gnommes du village commencaient à se moins se montrer dehors et avait quasiment arreté depuis une semaine de fouler ce tapis naturels de feuilles mortes; contrairement à Furt qui continuait ses balades en forêt mais plus tourmenté que jamais par son rêve, cessait d'y dormir et ne voyait Cresix que de mois en mois. Un jour de temps orageux, Furt voulu se changer les idées après avoir une nouvelle fois fait ce reve etrange, il s'habilla en conséquence et partit de chez lui, un parapluie à la main. Arrivé dans la clairière il appela immediatement son compagnon, le chercha des yeux et l'apercu enfin au bout de quelque minutes. Il semblait l'avoir dérangé. Mé les nuages n'empècherent point Furt et ses yeux percants de le voir piquer sur lui, une panique saisit Furt et lui noua le ventre, et si il l'attaquait? Ses yeux restaient figés, comme tétanisés face a cette situation plus qu'inattendue. Mais au lieu de le voir fondre totalement sur lui, une lueur vrete entoura le faucon, son corp scintilla, et de ses ailles jaillirent nettement des mains, de ses serres sortirent lentement des pieds et sa tête se changea en tête humaine, la silouhette, parfaitement humaine a présent se posa sans difficulté tout près du gnomme et pour finir son pelage se transforma en un éclair en une longue robe vert-boisé qui lui cachait totalement le visage. Furt déja tétanisé par sa vision précedente resta une fois de plus figé devant cette apparition, ou plutot transformation. Il ne pouvait que resté bouche bée telle une statue de marbre devant cet exploit que Crésix venait d'accomplir sous ses yeux . Devan lui se dressait a present un homme neveloppé d'une longur robe noire aux motifs anciens, une capuche tombante cahcait la face de cette apparition, la laissant partiellement a découvert deulement les courts instants ou celui ci parlerait. on ne voyait rien d'autre de cet intrus que cette robe qui plissait sur le sol, recouvrant l'homme et le dissimulant aus yeux de Furt. Une voix sombre s'éleva alors de la cape, distincte et forte, pourtant, il paraissait a Furt que lui seul était en mesure de l'entendre. Les premières paroles que le demi gnommes, ayant repris du courage, réussi à se mouvoir et a se tenir droit de toute sa petite taille face à l'humain qui le dépassait de deux voire trois tetes, entendit furent les suivantes:
"N'aies point de crainte jeune gnomme, aucun mal te sera fait"
Furt ressentit immediatement une détente l'envahir, un soulagement le saisir, malgrès tout la crainte et la peur dominaient, et avec toutes les froces et le courage qu'il avait pu rassemblé, ce dernier répondit à haute voix
" Mais qu....." il n'eut pas le temps d'achever sa phrase que la voix venant de la silouhette lui coupa la parole " Ne parle point en ce temps, je connais tes question et je sais que tu connais au plus profond de toi la réponse à l'une d'elles, et il en est d'autres que je pourrais t'offrir et d'autres encore qui ne te seront pas accessible. Ta premiere question est la plus simple et la plus complexe à la fois. Qui suis je? Cherche, cherche dans tes reves tu trouvera une partie de la réopnse qui te sera allouée... Je t'aide à chercher, à trouver le bon endroit..."
Et sur ces paroles Furt se sentit épris d'une autosatisfaction, d'une sensation de pur bien être, les songes l'emportaient dans leur royaume. Soudain Furt se sentit projetté au milieu de nulle part, il s'habitua à la sombre lueur du lieux et lorsqu'il eu fini, il vit des images défiler sous ces yeus tel un film de l'outre ocean. Il se voyait au sommet d'une colline, le soleil se couchait sur la cime des arbres jeunes, régénérés par la force du printemps, laissant des contrastes entre sa clarté et fonceté des arbres dominant la petite clairiere sur la colline.. En cet endroit Furt ressentait nettement une aura magique et une immense puissance provenant du sol , des arbres et des animaus environants. Furt ressentait une certaine familiarité avec ces images, il semblait les connaitre mais attendait la suite. Il se voyait équipé d'un baluchon de voyage et s'entendait même parler seul. Ses parole pourtant révélaient une conversation et non une folie qui ce serait éprise de lui, il semblait écouter et répondre. Le sujet semblai être un long periple et un danger grandissant, Furt n'en su pas davantage car sa projection de lui même venait de mettre un terme apparent à cette discusion à sens unique. Mais progressivement, l'air semblat se fendre et laisser place à une forme vague qui prit rapidement celle d'un homme à cape. et en un instant, le forme se matérialisa aux cotés de Furt et lui dit " mon aide te sera offerte et utile, le long périple ne sera que danger et non chose facile..." Il n'eut pas le temps de finir que les images se stopperent et s'évanouissèrent dans un vide. Furt s'en éloignait et rejoignait la lueur du jour. Rapidement, il reprit ses espprit et se retrouva dans la foret avec l'homme, le temps s'obscurcissait au long des minutes passées. Le gnomme connaissait ces images et pourtant ne les avait jamais vues. un sentiment de curiosité l'envahit, et il fut pris d'une nouvelle salve de question qu'il n'eut pas le temps d'entamer car la voix l'homme retentit une fois de plus dans son esprit. " Oui, je suis celui de tes rêves, ces images t'étaient familièrent mais tu ne les avait encore jamais vues?" Furt esquissa un non de la tete. "Bien sur ... les gnomes ne sont pas enseignés sur les songes et leur utilité. Vois tu, entama la vois de l'homme, ces images n'étaient que rêveries anciennes, que ton subconcsient s'était forcé à oublier pour ne pas avertir ton conscient des évenement futur ou passés que tu ignores aujourd'hui encore. Je n'ai fait qu'aider ton conscient à acceder à cette partie de rêve. Je suis initié à la dremalogie, la science du savoir des rêves. Peu de gens dans cette contrée reculée connaissent les vertues, voire jusqu'à l'existence de cet art scientifique. Passons.... Je te sens a present moins retissant envers moi et mes actes. Pour completer ta premiere réponse, je pe t'apprendre un de mes nombreux noms, en général on me nomme Guishâ, je suis, comme tu t'en doutais déjà, un sorcier humain, je viens du keltar'hen, pays d'outre ocean gouverné par des mages de toutes race, y compris de la tienne. Je t'en dirais plus au sujet de mon royaumme le moment venu, pour l'heure ma mission n'est que préventive et informatrice. Je suis profete et en tant que tel, les signes, les étoiles, tout m'a révélé le triste futur de cette contrée. Je ne puis pas t'en dire autant sur ce que ce que mes intentions l'auraient faits, je peux seulement te dire que le mal est réveillé et les sept plaies bieentot renouvellées." Alors même que cette phrase prenait fin, les nuages qui s'étaient maintenant regroupés, déversèrent leur pluie sur la contrée gnomme, Furt saisit immediatement sont parapluie et l'ouvrit, tandis que le sorcier l'observait sans agitation exessive, avec un sourire moqueur et compatissant a la fois. Furt vit, malgrès le noir qui régnait dans l'epaisse capuche de la robe, le rictus du sorcier et allait lui pproposer une place sous son parapluie lorsqu'il s'arreta et regarda dans la direction de Guishâ. Celui ci était impassible face à l'avalanche de gouttes d'eau, elles ne parraissaient pas l'atteindre, elle coulaient comme sur le long d'un mur invisible qui envellopait le soorcier de toutes part.



idée de tout:
Queris
Merlast
Balron
Abysmâhl
Kriman
orixypide
Notes:
grouc = 7,998 kilos
kinte = 10 litres
frencima,calimuni,ascalum,senumia.
Passages soulignés= peut etre a supprimer

djulä
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Post by djulä »

salut salut !
juste un petit message pour te dire que je trouve cette histoire vraiment cool ! ya pleins pleins de bonnes choses dedans et j'ai hate de lire la suite!
à bientôt,
djulä
dark battle, no need to argue, der Haß führt zu nichts, ein Frieden ist die einmalige Lösung . . .

Nita
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Post by Nita »

Continu comme sa ! c'est bon !
tu a de l'avenir ;)
c'est sur que ya des chose que tu va pouvoir corrigé mais c'est bien ! maintenant,
---> C O N T I N U !
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kirin'thorien
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Post by kirin'thorien »

mmmmmmmmmmmouais, c'est bien ces réponses mais c'est peu... alors comme ca y'aurait tout plein de laches sur ce forums :D ils s'arretent des qu'ils voient cinq pages sur word nan mais c'est koi ca :D :D :D

Gunsmith bob
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Post by Gunsmith bob »

Personnellement, la quantité m'importe peu: une de mes nouvelles ici présente( Electric Poetess ) fait dans les 11 pages et ma dernière ( Arboriah, pas mise ici ), fait pile 6 pages. Simplement, si je me débrouille en écriture ( c'est ce qu'on me dit , moi, j'en sais rien ), je suis un critique très nul, uniquement capable de dire " j'aime bien, j'aime pas".
Désolé.

Gunsmith bob
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Post by Gunsmith bob »

Sinon, pour la durée entre les travaux sur ton histoire, je pense que c'est pas un problème; le tout, c'est de rester motivé entre chaque "update". Pour exemple Electric Poetess ( encore elle, mais c'est ma plus réussie ) a été concu en facil un an( ca fait beaucoups, mais faut parfois se donner le temps de respirer ).

kirin'thorien
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Post by kirin'thorien »

vi mais ce sera plus dur avec moi je pense parce que ce passage, je l'ai écri en une semaine en fait et ca va etre dur de se remettre dans le bain... mais si j'y arrive j'avancerais plutot vite meme si y aura les cours ( je pense une demie page minimum par jour ). Et je compte faire un truc plutot long vu que ce sera divisé en deux parties...
Et chacune sera longue, il manque au minimum, je dis bien minimum, parce que j'écrirais bcp plus je pense, sept chapitres de la meme taille que le premier...
En fait le héros va devoir je ne sait toujours po pourquoi lui mais je trouverais plus tard ( vi paske j'invente au fur et a mesure ) détruire sept artefacts gardien de je ne sais quel portail ou interface avec un autre monde ( la encore je ne sais po ) pour empecher un puissant nécromancien de penetrer sur le monde ( ce pourra peut etre etre une reincarnation d'un dieu banni uou d'un ange déchu ou qqchose dans le genre, précurseur de la nécro ,oire ). Donc un chapitre par quete plus les aléas et les enntre quetes... ensuite le groupe va échouer et le nécro va arriver... le héro va mourir ( je pense le faire revenir kan meme, c'est tout de meme le héros :D ). Et g po encore la suite mais g du pain sur la planche :D :D :D

Gunsmith bob
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Post by Gunsmith bob »

Bien, je vais quand même essayer de faire quelque critiques sur le texte et de donner quelquers conseils.
Le fond et les idées y sont, mais la forme pose de sérieux problèmes.

1) Fais ton récit dans les temps du passé. C'est beaucoups plus agréable.
2) Aère ton texte: les gros pavés rebutent généralement les gens, même les plus motivés. Pour cela, n'hésite pas à passer à la ligne quand tu développes un nouveau passage et à découper ton récit en paragraphes bien séparés.
3) Dans la même lignée, évite les phrases trop longues: on perd régulièrement le fil et on ne comprend plus beaucoups. Pour cela, encore un peu de découpage.
4) Parallèlement, même si ca ne te concerne pas encore, il ne faut pas abuser des phrases trop courtes, sans verbes. Ca peut faire bien en eptite quantité, mais au bout d'un moment, ca gâche l'ambiance.
5) Construits également des phrases lisibles: ce n'est pas toujours facil, mais c'est indispensable.
6) Attention également à l'orthographe: si tu travailles sous word, utilise systématiquement le correcteur automatique lorsqu'il te signale une erreur. Ce n'est pas que je sois prof ou particulièrement défenseur de la langue francaise ( préfère de loin l'anglais :D ), mais un texte bourré de fautes n'attire pas vraiment les gens. En fait, une bonne idée ne suffit pas à faire un bon texte: si la forme n'y est pas, ca ne vaudra rien ! ( je ne compte plus les textes que j'ai dû réécrire car le style était désespérement nul, même si l'histoire était originale et intéressante ).
7) Quelques petits trucs pour t'améliorer:
__ à chaque fois que tu t'apprêtes à travailler sur ton histoire, relis ton texte en entier, depuis le début. Certains passages qui, sur le coup semblaient bien, peuvent finalement se révéler à corriger. De toute facon, le texte parfait n'existe pas ( même chez les grands auteurs), et il y a toujours quelque chose à changer (un an après avoir écrit certains textes, je les modifie encore, pour dire !)
__ n'hésite pas à surligner dans ton texte les passages dont tu n'est pas sûr, ceux que tu es susceptible de modifier. ca donne une bonne visibilité en attirant l'oeil sur les points fragiles de ton texte.
__ lecture, lecture et relecture. Essayer d'imiter des grands auteurs tels que David Eddings ou Anne McCaffrey est impossible, et inutile. Par contre, on peut s'inspirer de certains constructions de paragraphes, tournures de phrases, de la facon dont certaines idées sont développées, etc...

kirin'thorien
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Post by kirin'thorien »

oki doki, michi pr les trucs de constructions ( je les mettrais en place plus tard, pour l'instant je ne fais qu'écrire ^^ ) et c en fait pour la meme raison qu'il y a autant de faute et comme je travaille sur un vieux portable, si je veut po qu'il rame trop je travaille sous wordpad ou un truc ds le genre et y a po le coretcteur ( tte facon je pourrais en corriger les 9/10eme tout seul...
michi michi michi.... :D :D :D et je suis en train de tracer la carte du monde... et je commence des dessins de furt et des persos qu'il va rencontrer.... voili vouilou ciao et encore michi ^^

Nita
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Post by Nita »

J'ai eu un truc pour la correction : il ne suffit pas de lire et relire pour trouver des fautes , lit en envers .
tu doit te demander : pourquoi dont lire en envers !?! tu connais beaucoups trop ton texte au fur et à mesure que tu le lire et écris .
commence par la fin et va mot à mot . beaucoups plus facile de trouver des fautes :D

_________________
Image Image Image Pour les intimes.. :P

<font size=-1>[ Ce Message a été édité par: Nita le 2003-08-24 20:51 ]</font>

Gunsmith bob
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Post by Gunsmith bob »

Tiens, je connais pas ce truc là. T'es sûre de toi ? Parce que en lisant à l'envers, on doit plus rien comprendre.

Nita
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Post by Nita »

c'est justement , tu ne suis plus l'histoire donc tu ne sais pas a quoi t'attendre .. tu lis 2-3 mots ( surtout pour les verbes , savoir comment les conjuger et tout ) et tu corriges ! Parce que lorsque tu corrige ton texte il peut arriver que tu sautes des mots , a force de lire et relire , tu connais bien ton texte et la lecture rapire .. c'est pas toujours bien :D
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Gunsmith bob
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Post by Gunsmith bob »

Mais je recommande pas la lecture rapide, moi.
ce que je conseille, c'est de relire lentement, pour voir les fautes, mais surtout les passages qui sont à corriger ( les fautes, n'importe qui peut les corriger )

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Isaac Zapruder
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Post by Isaac Zapruder »

pfuuuuu sacré critique gunsmith et sacré conseillé aussi
[...]
Lun en am uttab, Lun en em arcniav
Lun en am tiurted, Lun en sareuqidare'm
Rac ej suis el larima'l ed al trom
Rac ej sius el larima'l SAS

Rac let tse al eétnolov ed larima'l
Ej sius Larima'l ed al trom
[...]

Gunsmith bob
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Post by Gunsmith bob »

Une critique non constructive ne sert à bsolument à rien, qu'elle soit bonne ou mauvaise. A l'inverse, même une critique mauvaise peut être très utile sir elle est constructrice, si elle aide celui qui écrit.

Nita
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Post by Nita »

Ah sa c'est bien sorti..
et c'est tres vrai ! :D
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Gunsmith bob
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Post by Gunsmith bob »

Pour donner un petit exemple de ce dont je parlais dans les conseils, voici un lien vers une de mes histoires les mieux réussie ( c'est pas de la pub, c'est de l'explication: on m'a beaucoups aidé au travers de critiques pour ce récit et ila été maintes fois retouché ).
http://gamesite.altajeux.com/cgi/phpbb/ ... &forum=8&2

<font size=-1>[ Ce Message a été édité par: Gunsmith bob le 2003-08-26 23:13 ]</font>

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